Définition
L’ossature / la charpente constituent le squelette des ouvrages
Quel que soit le matériau de construction (abstraction faite des ouvrages maçonnés , l’ossature la plus simple qui puisse être édifiée est formée de poteaux et de poutres.
Un dessin de l’ingénieur François Hennebique, en 1892, établit le principe technique de ces ossatures.
Les matériaux métal et dans une moindre mesure bois ont permis la construction d’ossatures plas élaborées
Indépendamment de la configuration originale de certaines ossatures métalliques il ne faut pas oublier que les caractéristiques des matériaux ont évolué notamment les aciers
Ainsi dans le béton on peut rencontrer aussi bien des aciers doux de résistance limitére (2400 bars) que des aciers à haute limité élastique pouvant excéder les 5000 bars – dans les structures métalliques on pouvait rencontrer des aciers standarts mais aussi des fers fondus ou aciers extradoux avec des résistances et limites d’élasticité excédant largement celle des aciers standarts contrainte à la rupture 4000 bars (ou 40kg:mm²) contrainte de rupture à la limite d’élasticité 29kg/mm²
Métal
Les profils utilisés sont assez similaires à ceux utilisés à ce jour .Les formes peuvent néanmoins légèrement différer – dans le sens de la simplification (suppression des sheds / entraits ceintrés….)
De même les assemblages ont subi qq évolutions avec la mise en oeuvre de boulons HR alors que la technique des rivets tombait endéséitude
Enfin pour des problématiques de sécurité incendie l’utilisation de charpentes métalliques dans le domaine de l’habitation est devenue anecdotique
Bois
Indépendamment de l’évolution des systèmes constructifs ,le bois a connu une forte diminution des coefficients de sécurité qui avoisinaient les il y a qq décennies 10 ce qui permettiat de s’affranchir de phénomènes mal maitrisés comme le flambement et le déversemenyt
Parrallèlement le es poutres panneaux en bois massifs ont été remplacés par des matériaux composites : charpente lamellées collées / panneaux OSB les sections optimisées (Lors des nombreux diagnostics réalisés j’ai pu constater de grosses marges (ou coefficient de sécurité sur les sections mises en oeuvre mais ce n’était pas à priori dû à une sous-estimation des performances des bois mais bien à une notion de sécurité comme en atteste le tableau précédent extrait d’Art de Construire